Les courses d’enduro se composent d’une série de spéciales chronométrées (généralement en descente) et de liaisons non chronométrées entre celles-ci. Les Velos doivent donc être capables de monter efficacement et de descendre très vite. Pour répondre à ces exigences particulières, les ingénieurs et concepteurs de composants ont créé une catégorie entièrement nouvelle de Velos et d’équipements, conçus pour offrir une polyvalence et une performance exceptionnelles.
des modèles en 29 pouces, ou des configurations mixtes avec une roue avant de 29 pouces et une roue arrière de 27,5 pouces.
Le débattement se situe généralement entre 160 et 180 mm.
- Souple et contrôlé
- Maniable et réactif
- 170 mm de débattement à l’avant et à l’arrière
- Très efficace au pédalage
- Comportement stable
- Système de suspension complexe
- Roues et pneus Bontrager perfectibles
- Moins roulant que certains 29 pouces
- Longueur maximale du tige de selle Reverb AXS limitée à 170 mm
La sixième génération du Slash 9.9 intègre la technologie la plus récente issue de la descente, avec un système de suspension High-Pivot avec galet de renvoi et un débattement porté à 170 mm aux deux extrémités. Malgré cette architecture très descendante, il reste conçu pour offrir un pédalage efficace et de bonnes capacités en montée, ce qui en fait un enduro polyvalent.
Comme ses prédécesseurs, le Slash 9.9 utilise un cadre en OCLV Carbon et un triangle arrière ABP. Il est livré en configuration mulet (29" devant / 27,5" derrière), mais peut être converti en 29 pouces intégral, comme l’ancienne génération. Trek combine ici l’amortisseur RockShox Vivid Air Ultimate à une fourche RockShox Zeb, ainsi que la toute dernière transmission SRAM T-Type avec cassette 10-52t et des freins SRAM Code SLR à 4 pistons.
Certaines limites proviennent des roues et pneus Bontrager, ainsi que de la complexité supplémentaire du système de renvoi et de guidage de chaîne.
Dans l’ensemble, le nouveau Slash reste très performant : il absorbe efficacement les irrégularités, offre un excellent équilibre entre stabilité et réactivité et conserve de solides aptitudes au pédalage, même avec la mécanique additionnelle du High-Pivot.
Pour tous les détails sur le Trek Slash 9.9 Gen 6, consulte notre test complet.
(Crédit image : Guy Kesteven)
- Suspension exceptionnelle
- Transmission puissante
- Maniabilité surprenante
- Équipement cohérent
- Garantie à vie
- Rétroaction marquée sur les longues descentes
- La version X01 est plus abordable
Santa Cruz possède un palmarès irréprochable dans les disciplines gravity et a largement contribué à populariser les 29 pouces à long débattement avec son Tallboy LTC en 2012. Une réinterprétation avancée de la cinématique VPP (Virtual Pivot Point) caractérise la plupart des derniers modèles de la marque californienne, dont le Nomad avec ses 170 mm de débattement.
Avec ses roues de 27,5 pouces, le Nomad n’est pas forcément conçu pour la compétition d’enduro pure, un domaine aujourd’hui dominé par les 29 pouces à grand débattement. Il s’apparente davantage à un Velo de descente à simple té, capable d’affronter sans effort les trails les plus raides et les plus accidentés — tout en permettant de remonter la montagne à la force des jambes, sans navette.
Le modèle testé était équipé d’une transmission et de freins Shimano XT, et de roues Reserve de 30 mm signées Santa Cruz. La suspension était assurée par une Fox 38 à l’avant et un amortisseur RockShox à l’arrière.
Malgré son débattement généreux, le Nomad reste extrêmement réactif et agile, tout en conservant la stabilité nécessaire pour rouler vite dans le terrain le plus exigeant. Sa combinaison de maniabilité, de capacité en descente et de détails bien pensés — associée à un cadre et des roues garantis à vie — en fait une option particulièrement solide pour les riders qui cherchent un Velo capable d’encaisser les parcours les plus engagés.
Tous les détails sur le Santa Cruz Nomad C XT RSV sont disponibles dans notre test complet.
(Crédit image : Guy Kesteven)
- Extrêmement polyvalent
- Suspension DW contrôlée et très performante
- Superbes détails de cadre
- De nombreuses options de montage
- Compatible 29" et 27,5+
- Prix très élevé par rapport aux autres modèles de cette liste
- Boîtier Press-Fit et certaines contraintes liées au standard Super Boost
- Bruit des plaquettes XTR parfois agaçant
Der hohe Preis des Switchblade est indéniable, mais sur les trails, il se fait rapidement oublier. Sa capacité à transformer chaque portion de terrain en un terrain de jeu ultra-réactif, précis et puissant est remarquable — un comportement que peu de Velos égalent.
Bien qu’il n’affiche que 142 mm de débattement arrière, il procure une sensation de fluidité et de réactivité exceptionnelle. Le débattement apparemment déséquilibré, avec 160 mm à l’avant et 142 mm à l’arrière, est en réalité parfaitement harmonisé.
Il fait partie des rares Velos permettant de passer sur des roues surdimensionnées si tu le souhaites — mais pour la plupart, ce sont les finitions soignées et la vitesse dynamique incroyable du Switchblade qui en font un modèle à part.
Pivot propose le Switchblade dans plusieurs configurations pour répondre aux préférences Shimano ou SRAM, ainsi qu’à différents budgets — même si la version « abordable » en XT reste onéreuse.
Pour comprendre pourquoi le Pivot Switchblade XTR figure parmi nos meilleures recommandations dans la catégorie des Velos à débattement réduit, consulte notre test complet.
4. Meilleur Velo d’enduro inspirant confiance
(Crédit image : Guy Kesteven)
- Géométrie progressive basée sur la longueur
- Suspension souple et très adhérente avec un amortisseur performant
- Comportement tolérant et facile à maîtriser
- Excellent rapport qualité-prix
- Flip-Chip permettant le passage du 29" au mullet
- Aucun réglage de géométrie
- Câblerie passant par le jeu de direction et l’axe principal de suspension
- Espace de rangement interne limité aux situations d’urgence
La version profondément remaniée du One-Sixty mélange des éléments de VTT de descente, de cross-country et même de triathlon, pour offrir un Velo d’enduro rapide, équilibré, accessible et très ludique.
Merida casse les codes classiques dès le choix des tailles. Au lieu des habituels XSmall à XLarge, le One-Sixty utilise des tailles XShort à XLong. Cela couvre une plage de reach immense, de 415 mm à 525 mm, avec des tubes de selle et de direction volontairement courts pour permettre aux pilotes plus petits d’opter pour un cadre long sans se retrouver trop haut.
Pour que ce reach imposant ne donne pas une impression de « paquebot », les bases arrière sont ajustées : les tailles Long et XLong ont des bases de 438 mm, tandis que les tailles XShort, Short et Mid sont équipées d’une roue arrière de 27,5 pouces et d’un Flip-Chip au niveau du hauban, permettant d’allonger les bases à 434 mm.
Si l’angle de direction de 64° est typique des enduros modernes, l’angle de selle très droit de 79° est une approche beaucoup plus radicale, rarement vue chez un grand constructeur mondial.
Le Velo bénéficie d’une garantie de 5 ans, qui couvre même une utilisation en bikepark de catégorie 5, en DH et en enduro.
Les nombreuses options de configuration — amortisseur à ressort, montage mullet, transformation en Velo de trail à débattement moyen — renforcent encore la polyvalence du One-Sixty et en font un modèle très adaptable aux préférences individuelles.
Pour en savoir plus, consulte notre test complet du Merida One-Sixty 8000.
Merida a par ailleurs repris une grande partie du concept pour sa nouvelle génération de VTT électriques. Plus d’informations dans notre test de l’eOne-Sixty 675.
5. Meilleur Velo d’enduro avec cadre en acier
(Crédit image : Cotic)
- Maniabilité très solide
- Cadre en acier durable
- Sept configurations disponibles
- Poids élevé (15,3 kg)
- Porte-bidon situé sous le tube supérieur
Si tu recherches une précision absolue ou une agilité très légère sur les longs trails, le RocketMax n’est pas le modèle idéal. Sa géométrie radicale, qui préfère les trajectoires larges dans les sections serrées, ne plaira pas à tout le monde, et son format généreux en fait l’un des rares Velos trop longs pour entrer dans de petits coffres de voiture.
Son esthétique particulière — tubes en acier avec extrémités croisées — ne séduira pas forcément les fans de carbone imposant.
En revanche, si tu veux un Velo qui offre les avantages typiques de l’acier en matière de filtration et d’amortissement, ainsi qu’un comportement très naturel sans excès de souplesse, le RocketMax est une option remarquable. Sa géométrie et ses composants clés ont été sélectionnés pour préserver une sensation extrêmement stable, homogène et confiante, du pneu avant jusqu’au cintre.
Le résultat est un Velo d’enduro extrêmement rassurant, qui reste calme et maîtrisé même bien au-delà des zones où la plupart des pilotes lèvent le pied. Il fait également partie des Velos les plus rapides que nous ayons testés dans cette catégorie, toutes matières confondues. Malgré son poids, il pédale suffisamment bien pour en dissimuler une bonne partie et reste agréable même sur des trails moins exigeants.
Pour plus de détails sur ce modèle en acier, consulte notre test complet du Cotic RocketMax.
6. Meilleur Velo d’enduro avec système de suspension
(Crédit image : Yeti)
Un système de suspension unique assure un comportement de pilotage parfaitement contrôlé
- Sensation de pilotage fantastique
- Excellentes capacités
- Pédalage efficace
- Large choix de tailles
- Investissement important
Le premier VTT d’enduro 29 pouces à long débattement de Yeti — le SB150 — s’est immédiatement imposé après son apparition comme le Velo à battre, sur les spéciales comme en dehors. Cela fait plus de quatre ans, et même s’il reste performant, il n’est pas surprenant que le nouveau SB160 prenne la tête d’un trio de nouveaux modèles turquoise.
Yeti applique clairement la philosophie : « Si ce n’est pas cassé, améliore-le un peu plutôt que de tout changer ».
Le débattement avant reste à 170 mm grâce à la Fox 38, tandis que l’arrière gagne 10 mm de plus. Le reach augmente légèrement et l’angle de direction s’ouvre d’un demi-degré à 64°. L’angle du tube de selle devient un peu plus droit (déjà un point fort du SB150). Les tailles plus grandes reçoivent un angle de selle encore plus vertical et des bases rallongées (2 mm par taille) pour garder de bonnes proportions, et une taille XXL rejoint la gamme.
De nombreuses modifications subtiles mais importantes ont été apportées au cadre.
Le tube diagonal a été redessiné pour offrir plus d’espace à la fourche, et le tube de selle a été remodelé pour accepter des tiges télescopiques à grand débattement (jusqu’à 200 mm en tailles L à XXL).
Le cadre adopte un boîtier de pédalier fileté, la patte universelle SRAM UDH, une protection en caoutchouc double densité sous le tube diagonal, une protection ondulée sur les haubans, ainsi qu’un routage interne complètement guidé et sécurisé.
Heureusement, les câbles ne passent pas par le jeu de direction.
Sous l’imposant amortisseur Fox Float X2, il reste assez de place pour un grand bidon, et le dégagement des pneus a également été amélioré.
Le système de suspension emblématique de Yeti, Switch Infinity, a été révisé.
Le pivot inférieur flotte toujours sur deux petites glissières verticales revêtues de Kashima (très glissantes). Les roulements Enduro Max montés sur axe à pince sont désormais installés flottants pour un alignement parfait, et ils sont reliés pour plus de rigidité.
Des roulements traités en oxyde noir avec de nouveaux capuchons anti-poussière en aluminium améliorent la durabilité.
(Crédit image : Specialized)
Brouille les frontières entre un Velo de descente et un Velo d’enduro
- 170 mm de suspension parfaitement contrôlée qui lissent les terrains les plus rugueux
- Détails de cadre astucieux comme l’espace de rangement SWAT et l’outil multifonction intégré
- Peut donner l’impression d’apporter une arme à un combat de couteaux
L’Enduro est basé sur la série de Velos de descente Demo de Specialized, dont il reprend de nombreuses expériences en matière de suspension pour les adapter à un format enduro. Avec ses 170 mm de débattement, le S-Works Enduro est conçu pour les parcours les plus exigeants, et pour la grande majorité des pilotes, il est tout à fait capable d’affronter des courses de descente.
Un flip-chip dans la fixation de l’amortisseur permet de transformer le caractère du Velo : d’un enduro vif et joueur à une machine orientée gravité, idéale pour enchaîner les runs en bikepark ou lors d’une journée d’uplift.
Toute cette performance en descente ne signifie cependant pas qu’il grimpe mal. L’Enduro n’est pas un grimpeur explosif, mais la suspension est suffisamment bien contrôlée pour limiter le pompage lié au pédalage et maintenir la roue arrière bien collée au sol.
La géométrie de l’Enduro est, comme on peut s’y attendre, extrêmement longue, ouverte et basse, afin de maximiser la stabilité quand tu lâches les freins et que tu utilises pleinement les 170 mm de débattement. Specialized a abandonné les tailles traditionnelles S/M/L et utilise désormais un système basé sur la longueur de reach : si tu roules habituellement une taille M, tu peux choisir un S3 pour un comportement plus vif ou un S4 pour plus de stabilité.
Les composants du modèle S-Works sont évidemment haut de gamme : transmission et freins SRAM AXS associés à une suspension Fox. Pour celles et ceux qui ne veulent pas dépenser un montant à cinq chiffres, Specialized propose aussi des versions Comp, Elite et Expert.
8. Meilleur Velo d’enduro économique
(Crédit image : Giant)
Un Velo d’enduro bien équilibré qui ne vide pas ton porte-monnaie
- Poids parmi les meilleurs de sa catégorie
- Grandes améliorations de la géométrie en descente
- Prix raisonnable
- Les cyclistes aux jambes plus courtes pourraient avoir du mal à trouver la hauteur idéale pour la tige télescopique
La marque taïwanaise a créé un Velo potentiellement gigantesque avec ce Reign en roues de 29 pouces.
Ce dernier modèle est une évolution de la plateforme Reign existante et combine un débattement arrière très performant de 146 mm avec une fourche de 170 mm.
Parmi les autres améliorations majeures apportées par le passage aux grandes roues, on trouve un amortisseur à fixation Trunnion ainsi que la possibilité de choisir entre des déports de fourche de 42 mm ou 44 mm, offrant aux pilotes expérimentés une direction nettement plus rapide.
La géométrie est nettement plus longue que celle du Reign en 27,5 pouces.
Le reach du nouveau 29er atteint 494 mm en taille L, ce qui favorise la stabilité à haute vitesse et aide à dompter la rugosité des pistes d’enduro modernes.
Cela améliore aussi la qualité de pilotage sur tes trails locaux — et c’est précisément ce qui fait du Reign un Reign.
9. Meilleur Velo d’enduro disponible uniquement en ligne
(Crédit image : Canyon)
Un Velo d’enduro agile avec une vraie double personnalité
- Le Shapeshifter offre une véritable double personnalité pour l’ascension et la descente
- Agilité remarquable dans les virages serrés
- Excellent rapport qualité-prix
- Géométrie conservatrice, moins stable à très haute vitesse
- Pas disponible en magasin, uniquement en vente directe
En regardant simplement le tableau de géométrie du Strive CFR, beaucoup de pilotes d’enduro concluraient que le Velo de course de Canyon est trop conservateur.
L’angle de direction de 65,2°, l’angle de selle de 74,4° et le reach de seulement 434 mm en taille M semblent datés face aux machines ultra longues et ouvertes d’aujourd’hui.
Pourtant, le Strive brille sur les terrains étroits et techniques, où sa direction directe et son boîtier bas permettent de le jeter d’un virage à l’autre avec facilité.
Grâce à son accélération réactive et à la technologie Shapeshifter montée au guidon — qui permet d’ajuster non seulement le débattement mais aussi la géométrie et la cinématique pour maximiser le pédalage — les sections roulantes deviennent un atout plutôt qu’une contrainte.
Le Strive reste toutefois un Velo de course pur et dur, conçu pour être rapide et efficace toute la journée.
Selon ton style, tu pourrais préférer le Spectral, plus court mais plus progressif, ou le Torque, clairement orienté gros débattement.
Mais dans les bonnes mains, le Strive est une machine d’enduro dominante.
Comment choisir les meilleurs Velos d’enduro
Quand il s’agit des meilleurs Velos pour les courses d’enduro, les possibilités sont presque illimitées. Certains modèles ressemblent beaucoup à ceux utilisés par les pros et affichent logiquement un prix très élevé. Heureusement, il existe aussi des alternatives plus abordables, comme le Reign de Giant, un Velo particulièrement avantageux.
Le matériau du cadre est important, mais son impact est souvent moins déterminant que dans d’autres disciplines du cyclisme. Le carbone permet de fabriquer des cadres plus légers et plus rigides, mais l’aluminium est de plus en plus performant et constitue une excellente alternative.
L’avantage de l’aluminium est son coût de fabrication plus faible, ce qui permet de consacrer davantage de budget à de meilleurs composants comme la suspension, les roues, les freins ou les pneus — des éléments qui améliorent directement la performance du Velo.
La conception de la suspension arrière et la géométrie du cadre sont des critères essentiels dans l’évaluation d’un Velo d’enduro. Sur des spéciales plus longues que prévu (jusqu’à trois miles), la surchauffe de l’amortisseur peut entraîner une perte d’efficacité notable — un vrai problème pour les pilotes d’enduro.
C’est pourquoi un cadre doit offrir suffisamment d’espace pour accueillir un amortisseur à air de grand volume (avec réservoir « piggyback ») ou un amortisseur à ressort.
Chacun de ces systèmes possède ses propres caractéristiques, mais les cadres haut de gamme sont généralement conçus pour fonctionner de manière optimale avec un type d’amortisseur bien précis.
Certains cadres peuvent être améliorés en changeant l’amortisseur, mais il faut toujours vérifier la compatibilité pour éviter que la cinématique de suspension ne soit compromise.
L’enduro — qui exige à la fois de l’endurance sur une journée complète et une grande capacité d’absorption en descente — a complètement changé la géométrie des VTT modernes.
Les Velos sont devenus plus longs, avec des angles toujours plus extrêmes, suivant l’idée qu’un empattement allongé offre naturellement plus de stabilité.
La géométrie idéale pour toi dépendra de tes trails et de ta manière de rouler — ce qui fonctionne pour toi sera différent pour d’autres.
En général, un angle de direction inférieur à 66° et un angle de selle supérieur à 74° indiquent un Velo vraiment orienté descente, même si la plupart des Velos d’enduro dépassent largement ces valeurs.
Historiquement, les roues de 27,5 pouces (650b) étaient la norme : un compromis entre les anciennes 26 pouces et les 29 pouces, rapides mais jugées plus difficiles à manier.
Beaucoup de choses ont changé, et avec l’évolution des géométries, les roues de 29 pouces se sont imposées comme une option à la fois performante et très répandue en course d’enduro.
- 29 pouces : meilleure capacité de franchissement, plus de stabilité, vitesse mieux conservée
- 27,5 pouces : plus maniable, plus facile dans le serré, roues souvent un peu plus légères et robustes
Les VTT d’enduro en configuration mullet (29" à l’avant, 27,5" à l’arrière) sont aujourd’hui très répandus, offrant un mélange intéressant de stabilité et d’agilité.
Les Velos d’enduro équipés de roues 26 pouces sont désormais rares, mais certaines marques proposent encore des montages hybrides combinant 29 et 27,5 pouces, pour tirer le meilleur des deux formats.
Comment nous testons les Velos d’enduro
Tous les Velos présentés ici ont été testés dans des conditions extrêmement variées :
- pistes sèches et poussiéreuses
- trails humides et glissants nécessitant un maximum d’adhérence
- journées uplift en bikepark
- spéciales d’enduro longues et rapides
- sentiers naturels raides et techniques
Nous testons chaque modèle durant plusieurs mois pour observer son comportement dans la durée.
Nous changeons aussi régulièrement de Velo pendant les sorties afin de comparer directement les performances des différents modèles.
